La nouvelle baisse de la bourse européenne s’explique par les nombreuses incertitudes :
– les événements tragiques en Ukraine dont nous ne connaissons malheureusement pas l’issue ;
– la remontée inexorable des taux d’intérêt (pour lutter contre l’inflation) dont nous ne connaissons ni le rythme, ni l’ampleur ;
– la sortie de pandémie qui n’est que progressive : nous subissons toujours des ruptures d’approvisionnement et nous devons dorénavant apprendre à vivre avec le Covid.
Tôt ou tard, des réponses claires seront apportées à ces questions. Le nombre d’incertitudes diminuera et nous avons la conviction que les marchés européens rebondiront.
Les grandes sociétés européennes ont su faire preuve de résilience. Elles s’appuient toujours sur des fondamentaux solides.
Contrairement aux marchés français et américains (déjà largement revalorisés), le marché européen doit encore progresser de 45 % pour rattraper son niveau de vingt ans en arrière.
En conséquence, notre travail de conception continue à privilégier la recherche de fortes rémunérations à travers des supports dynamiques.