Contrairement aux marchés français et américains (déjà largement revalorisés), le marché européen doit encore progresser de 30 % pour rattraper son niveau de vingt ans en arrière.
Les grandes sociétés européennes ont su faire preuve de résilience pendant la crise. Elles s’appuient toujours sur des fondamentaux solides.
Suite à un phénomène de rattrapage des cours sur les marchés financiers, le nouveau variant Omicron a entraîné une baisse généralisée.
La sortie de la crise boursière (liée à la crise sanitaire) n’en est que retardée. Elle devrait – tôt ou tard – entraîner une hausse des marchés.
En conséquence, notre travail de conception privilégie toujours la recherche de plus fortes rémunérations à travers des supports dynamiques.
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